100 mots sur… est un type de chronique que vous viendrez à apprécier après un certain temps. C’est un format qui me limite à une centaine de mots pour exprimer une idée sur une oeuvre. Au premier abord, c’est une méthode excellente pour synthétiser une analyse, mais c’est aussi une manière de m’empêcher de me vider de tous mes mots sur le plancher (d’où votre appréciation grandissante au fur et à mesure de ces billets).
Produit par The Asylum, Sleeping Beauty est un autre “mockbuster” visant à tirer profit de la sortie d’un film gros budget similaire (Maleficent). Ça colle à l’histoire de base avec un prince, une princesse, une sorcière et une malédiction. Ah oui, il y a aussi des zombies. Malgré cette “originalité” (notez les guillemets ironiques), le scénario paresseux et prévisible rate une belle occasion de se démarquer du conte classique et des autres adaptations en recourant à la fois aux clichés anciens (“ils vécurent heureux”) et aux clichés modernes (des zombies).
Les dix derniers mots: La fin dans ma tête était meilleure que la leur.