Le premier volet de cette série m’avait soufflé, le deuxième m’avait enchanté et celui-ci m’a… plu. Bien que Lenormand n’ait rien perdu de l’esprit délectable qui fait le charme de Voltaire mène l’enquête, il se laisse aller côté intrigue. C’est comme s’il avait délaissé le mystère à résoudre pour porter toute son attention sur les extravagances de son protagoniste. Ainsi, la solution de l’énigme est vite expédiée dans un seul paragraphe de l’avant-dernier chapitre sans qu’on puisse comprendre comment l’auteur et son héros ont pu parvenir à de telles conclusions.
Les dix derniers mots: La forme l’emporte sur le fond, oui, mais quelle forme!