100 mots sur… 1Q84 – Livre 1: Avril – Juin

1Q84v1J’ai commencé ce roman enchanté par la prose de Murakami; cet homme pouvait n’écrire rien de conséquent, le texte seul m’envoûtait. Ce charme fut de courte durée: une fois passé le milieu du livre, je me suis rendu compte que l’écriture fleurie de l’auteur recelait un sur-place entêté. Aussitôt a-t-on l’impression d’avancer dans l’intrigue que l’on se retrouve entraîné vers l’arrière dans un flashback!  C’est ça ou on s’enlise dans l’analyse psychologique des personnages. Coup de grâce: pas de cliffhanger final donc aucune invitation à lire le tome suivant… D’accord!

Les dix derniers mots: Et je ne sais toujours pas comment prononcer le titre.

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