Ce roman exploite la tendance naturelle du lecteur à souhaiter le succès du protagoniste pour représenter comment des gens ordinaires peuvent permettre des atrocités sans s’y opposer. Le héros, Victor, réalise que les personnes qui font l’objet des nécrologies qu’il écrit sont subséquemment liquidées. Bien qu’il perçoive comment ses actions mènent à des meurtres, il poursuit son travail parce qu’il ne se sent pas directement responsable. De même, le lecteur sympathise avec Victor en tant que protagoniste, mais cette sympathie le rend essentiellement complice à son tour des crimes perpétrés.
Les dix derniers mots: Une belle démonstration de la différence entre empathie et sympathie.